Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Pour En Savoir Plus Sur Nous...

  • Section de Toulouse-Languedoc d'Action française
  • Refondée en 2008 après une période d'hibernation par le Délégué régional de l'Action française dans le Grand Sud-Ouest Vincent Gaillère, la section de Toulouse & Haut-Languedoc rayonne sur la Haute-Garonne, le Tarn, le Tarn-et-Garonne, le Lot, l'Aude, l'Aveyron, l'Ariège et les Pyrénées-Orientales.
  • Refondée en 2008 après une période d'hibernation par le Délégué régional de l'Action française dans le Grand Sud-Ouest Vincent Gaillère, la section de Toulouse & Haut-Languedoc rayonne sur la Haute-Garonne, le Tarn, le Tarn-et-Garonne, le Lot, l'Aude, l'Aveyron, l'Ariège et les Pyrénées-Orientales.

Pas d'exclusive chez nous... sauf contre l'Anti-France!

Tout ce qui

est national

est nôtre.

Le Duc d'ORLEANS.

Vous Cherchez, Nous Trouvons!

"Que faire?" La réponse de Maurras!

"Pas de doctrine

sans action,

pas d'action

sans doctrine!"

(MAURRAS)

 

Archives Militantes De L'action Française-Toulousain Depuis 2007!

1 août 2008 5 01 /08 /août /2008 00:00

Nous reproduisons ci-dessous l'article nécrologique que Michel Fromentoux, rédacteur en chef de L'Action Française 2000, membre du Comité directeur de l'Action française et directeur de l'Institut d'Action française, a publié dans le numéro 2753 du Journal à la triste occasion du décès à Bordeaux de maître Antoine Murat, avocat d'Action française et membre honoraire de son Comité directeur. Pour sa part, la fédération Aquitaine-Grand Sud-Ouest de l'A.F. et son délégué adressent à sa famille l'expression de leur douleur de cette grande perte et l'assurent de leurs prières pour le repos de l'âme du défunt. Requiescat in pace.



Partager cet article
Repost0
publié par la Section de Toulouse - dans Notre mémoire
31 juillet 2008 4 31 /07 /juillet /2008 23:00

Cette semaine chez tous les bons kiosquiers, vous trouverez L'Action Française 2000 n° 2753, valable tout le mois d'août. Notre rédacteur en chef, Michel Fromentoux, y décortique, dans un éditorial mordant et dans un article historique intitulé De Philippe-Egalité à Jack Lang, la pitoyable palinodie de la réforme constitutionnelle.



Notre chroniqueur médical, le Dr Jean-Pierre Dickès, dénonce avec force les manoeuvres insidieuses des partisans de l'euthanasie. Thidal évoque les points positifs (si, si, il en existe!) de la réforme militaire... (On se reportera aussi, pour une vue complète de l'état de la question, à l'article déjà publié sur le même sujet dans le blogue de la Fédération: http://af-aquitaine.over-blog.com/article-20936338.html.)

Notre chroniqueur judiciaire Aristide Leucate nous apprend les derniers développements de la justice mémorielle anti-Algérie française.

Notre correspondant permanent aux Etats-Unis, Philippe Maine, revient longuement sur l'important arrêt de la Cour suprême confirmant la liberté des heureux citoyens de ce pays de posséder une arme pour la défense de leurs droits. Pascal Nari, dans sa chronique de politique étrangère, soulève le voile sur les tenants et les aboutissants de la crise internationale née de la volonté de l'Iran d'acquérir la puissance nucléaire.

Plus revigorante est la lecture du portrait fait par Michel Fromentoux de la très populaire reine Béatrice des Pays-Bas, ainsi que la rubrique littéraire pétillante de vie d'Anne Bernet.

Il en va de même de la recension par Aristide Leucate de la publication par Christophe Dickès de sa thèse de doctorat sur Jacques Bainville: Les lois de la politique étrangère (éd. Bernard Giovanangeli, 2008, 23 €), et de la véritable leçon de politique naturelle, Sagesse du nationalisme, que nous livre, dans la rubrique doctrinale Les grands textes politiques, Gérard Baudin à propos d'Antonio de Oliveira Salazar. L'économiste Patrice Mallet dénonce, quant à lui, les déraisons de la libéralisation.

Enfin, la page Mouvement nous apprend deux nouvelles. L'une triste, celle du décès du doyen de la fédération Grand Sud-Ouest, maître Antoine Murat, membre honoraire du Comité directeur de l'Action française (nous reproduirons plus loin l'article nécrologique plein d'amour que lui consacre notre rédacteur en chef).



L'autre, joyeuse, témoigne du rebond significatif de notre école politique après la disparition de Pierre Pujo, dans la fidélité à sa mémoire et aux principes fondamentaux du nationalisme intégral: ainsi que nous l'avions annoncé récemment, la 56ème Université d'été de l'Action française est organisée, sous le haut patronage du président du Comité directeur, par la section Béarn-Bigorre-pays basque-Landes à Biarritz, du 28 au 31 août prochains.

Tous les renseignements complémentaires seront donnés en temps utile sur le blogue de la Fédération, mais toutes les questions d'ordre pratique des étudiants et lycéens des deux sexes intéressés par l'Action française peuvent d'ores et déjà être adressées à l'adresse courriel suivante:

contact@actionfrancaiseaquitaine.com . Il y sera répondu aussi promptement que possible.

Le tarif est fixé à 80  € pour la durée de l'Université d'été, et les inscriptions se font à compter d'aujourd'hui par voie postale et sont à renvoyer avec le règlement par chèque à l'ordre de: C.A.E.C.,  avant le 21 août, à l'adresse suivante:

C.A.E.C.
B.P. 80093
33035 BORDEAUX CEDEX.

Nous remercions nos amis de France et de Navarre, qu'ils soient militants confirmés ou simples sympathisants, de répondre nombreux à notre appel et de réserver particulièrement les journées des 29 et 30 août pour assister à ce cycle de formation théorique et pratique d'un intérêt sans équivalent. L'Université d'été de Biarritz 2008 ne démentira pas, par par la qualité des interventions et par la joyeuse ambiance d'amitié française qui l'animera, ses glorieuses traditions des camps d'A.F.

La séance continue.



Partager cet article
Repost0
publié par la Section de Toulouse & Haut-Languedoc - dans Notre Journal - L'Action Française 2000
17 juillet 2008 4 17 /07 /juillet /2008 18:00

Encore un excellent numéro de L'Action Française 2000 de paru! Le n° 2752 comblera, par sa perspicacité, tous les Français conscients et organisés qui veulent le rétablissement d'une Monarchie d'utilité publique!

Un grand entretien accordé, à l'occasion du centenaire du Journal, par Jean Madiran, directeur émérite de Présent, resitue l'influence de l'Action française dans son siècle.

L'éditorial de Michel Fromentoux analyse la comédie du 14-Juillet autour de la pseudo-union méditerranéenne. Un autre article de lui retrace l'évolution des rapports des pays riverains de la Méditerranée, cependant que Nicolas Hainaut trace des perspectives d'avenir.

Aristide Leucate dresse le tableau de la politique de l'immigration qu'il faudrait à la France et, quelques pages plus loin, évoque brillamment la mémoire de l'écrivain A.D.G. Dans un article économique, Patrice Mallet explore l'impossible équation des déficits.

Pascal Nari consacre sa chronique diplomatique aux incertitudes de la Turquie d'Erdogan. Anne Bernet, quant à elle, nous propose quelques polars particulièrement de saison. M. Fromentoux brosse un portrait particulièrement vivant du roi Charles XVI Gustave de Suède, un modèle de souverain constitutionnel.

La chronique philosophique de Gaël Fons traite du dernier livre de Renaud Camus sur la culture, et celle de Stéphane Blanchonnet de... Nietzsche!

Dans le sillage de l'article dans le précédent numéro de notre délégué régional, Jean-Philippe Chauvin, se basant sur les actes du colloque sur L'Action française: Culture, Société, politique, parus aux éditions du Septentrion (Paris, 2008, 24 €), nous donne un article-fleuve sur les nationalistes et l'A.F. au début du XXème siècle.

Enfin, ce qui fera enrager les dissidents, on apprend que nos finances se portent (relativement) bien, que le camp Maxime-Réal-del-Sarte est annulé pour cette année et que les permanences hebdomadaires parisiennes reprendront normalement vendredi 5 septembre prochain à 18 h 30, 10 rue Croix-des-Petits-Champs (porte à gauche, deuxième étage)!

Partager cet article
Repost0
publié par la Section de Toulouse & Haut-Languedoc - dans Notre Journal - L'Action Française 2000
16 juillet 2008 3 16 /07 /juillet /2008 21:00

"Le Comité directeur de l'Action française, réuni le 10 mai 2008, veille du cortège de Jeanne-d'Arc, a souhaité à cette occasion redire sa fidélité à tout ce qui fait l'Action française, son combat et ses raisons.

"Fidélité au nationalisme, dont le souverainisme n'est qu'un aspect - particulièrement important aujourd'hui - mais qui doit être complété et corrigé par une critique de l'idée de souveraineté populaire.

"Fidélité à la Monarchie, sans laquelle tout ce que veut conserver le nationalisme se perd nécessairement et en premier lieu la souveraineté elle-même.

"Fidélité à la Maison de France et à son Chef, Mgr le Comte de Paris, Duc de France, sans lesquels le recours au Roi reste théorique, abstrait et par là-même inefficace.

"Fidélité à l'histoire de l'Action française dont nous pouvons être fiers et que nous assumons dans son ensemble sans esprit de repentance.

"Fidélité à Pierre PUJO à son désir de faire de l'Action française et de son Journal une oeuvre d'abord et essentiellement politique dont la principale caractéristique soit de porter sur les faits de l'actualité la plus quotidienne un regard supérieur éclairé par la raison, le bon sens et le souci du Bien commun.

"Le Comité directeur a également souhaité rappeler à tous les responsables du Mouvement et du Journal ainsi qu'aux délégués locaux que toute autorité s'exerçant à l'Action française tire sa légitimité du Comité directeur et est donc responsable devant lui."

"Signé: Stéphane BLANCHONNET
"Président du Comité directeur de l'Action française."


L'Action française a traversé quelques remous ces dernières semaines. Le président du Comité directeur, Stéphane BLANCHONNET, avait demandé la publication du communiqué reproduit ci-dessus dans le numéro 2749 du Journal. Il entendait rappeler la fidélité de l'A.F. à l'héritage dont elle est dépositaire, répondant à l'inquiétude de nombreux sympathisants. S'étonnant des opinions "néo-légitimistes" du nouveau directeur de la rédaction, certains s'imaginaient, par exemple, que l'Action française avait renié son soutien à la Famille de France! Nous nous devions de rassurer nos lecteurs.

Mais tous nos collaborateurs ne l'ont pas entendu de cette oreille. Le soir du bouclage, un groupe de "militants" a envahi le bureau de la rédaction. Bien décidés à nous empêcher de travailler sereinement, ils exigeaient le retrait du communiqué ou, à défaut, celui des articles dont ils étaient les auteurs. Dans ces conditions, il était impossible de terminer la fabrication du Journal, dont le bouclage - fort laborieux - est intervenu avec une semaine de retard.

(L'ouvrage "bolchévique" des hommes de main de MM. CHAMPION et de PIERRE de BERNIS: des locaux dévastés. Photo: Fédération Grand Sud-Ouest de l'A.F. - Tous droits réservés.)

En conséquence, Philippe CHAMPION et Thibaut de PIERRE de BERNIS ont été démis de toute responsabilité à l'Action française par le président du Comité directeur. Les activités du Mouvement s'en trouvent perturbées (1), mais les camelots du Roi restent mobilisés: nous saluons leur dévouement exemplaire, et vous invitons à rejoindre dès maintenant leurs équipes de vendeurs!

Des rumeurs ont annoncé la disparition du Journal. En dépit des difficultés, la parution continue, vous en êtes les premiers témoins. Marielle PUJO continue d'en assurer la responsabilité légale; de jeunes collaborateurs se sont impliqués, soulageant à peine Michel FROMENTOUX, le rédacteur en chef, dont la charge est toujours aussi lourde... Ils ont besoin de votre aide! Une aide financière bien sûr: vos contributions à la souscription, même modestes, sont une nécessité vitale. Mais nous comptons également sur vos réactions: que vous soyez déçu ou enthousiasmé par le Journal que vous tenez entre les mains, faites-le savoir! Vos commentaires façonneront peu à peu l'évolution d'un organe dont la fidélité à l'héritage d'A.F. ne saurait se confondre avec un quelconque conservatisme. L'avenir nous appartient, à nous de préparer le retour du Roi!


Note:

(1) très provisoirement au niveau central, mais la fédération Grand Sud-Ouest est l'exemple-type que la récente dissidence, circonscrite à la branche étudiante parisienne et à certains de ses satellites, est loin d'avoir gangrené les provinces. Se reporter sur le présent blogue à nos récentes activités, dont le cycle de formation, qui continuent et continueront.


(Article publié dans
L'Action Française 2000, n° 2751, du 3 juillet 2008, et annoté par les soins de la Fédération.)

Partager cet article
Repost0
publié par la Section de Toulouse & Haut-Languedoc - dans Divers
3 juillet 2008 4 03 /07 /juillet /2008 08:00

Comme annoncé par son rédacteur en chef, Michel FROMENTOUX, le numéro 2751 vient de paraître: outre son excellente Politique sur le thème "Sarkozy rattrapé par les nations", on y trouvera le compte rendu exhaustif par notre délégué régional Vincent GAILLERE et par Yves LENORMAND, autre plume sûre du Journal, de l'important colloque maurrassien qui a eu lieu à Metz le mois dernier.

La chronique étrangère de Pascal NARI porte sur le Proche-Orient et sur le rôle que la France pourrait y jouer. Anne BERNET nous donne une page littéraire de tout premier choix sur les polars britanniques. Sarah et Stéphane BLANCHONNET évoquent les causes de la dépréciation constante du baccalauréat. THIDAL signe également une analyse importante du Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale.

La chronique d'Aristide LEUCATE traite des Immigrés victimes de l'antiracisme, un thème brûlant d'actualité. Un portrait de la reine Marguerite II de Danemarck prouve que la Monarchie est une solution populaire à la crise généralisée de l'Autorité. On lira avec intérêt un article sur Pierre Boutang d'H. NOWAK, jeune rédactrice, et l'entretien accordé par Alain de BENOIST à l'occasion du centenaire de notre Presse.

Enfin la page Mouvement publie le texte intégral et la glose du communiqué officiel du Comité directeur que quelques fous, heureusement exclus, prétendaient censurer: nous y reviendrons.

En bref, un numéro essentiel, qui témoigne de la vitalité de notre école de pensée unie sur la doctrine et diverse dans son expression. Allez vite l'acheter chez votre buraliste ou, mieux, abonnez vous (76 € le premier abonnement) ou donnez à la souscription (à adresser à: Mme Geneviève CASTELLUCIO / L'Action Française 2000. - 10, rue CROIX-des PETITS-CHAMPS 75001 PARIS): nous avons besoin de 9.000  € avant la fin du mois. Soutenez donc sans hésiter le seul organe du nationalisme intégral: même les dons les plus modestes sont bienvenus!

L'A.F. 2000 revient, qu'on se le dise!

Partager cet article
Repost0
publié par la Section de Toulouse & Haut-Languedoc - dans Notre Journal - L'Action Française 2000
26 juin 2008 4 26 /06 /juin /2008 08:00

"Chers Amis,

 

"Des informations malveillantes semblent être parvenues à vos oreilles, selon lesquelles L’Action Française 2000 n’existerait plus et serait remplacée par un [ fanzine pirate virtuel ] sur internet. Il n’en est rien.

 

"Un groupe autour [ de l’ex-directeur de la rédaction et de la branche étudiante parisienne ] s’est séparé de nous en refusant de publier un communiqué du Comité directeur de l’Action française. Ils nous ont même empêchés de sortir le numéro [ 2749 ] en occupant la rédaction dans le plus pur style des actions révolutionnaires. Mais nous l’avons sorti quand même avec quelques jours de retard [ … ], avec l’appui de Marielle Pujo [ directeur de la publication ]. Celui de cette semaine est sorti comme il se devait. Et nous sortirons aussi les suivants, en dépit des énormes difficultés que l’on nous cherche. Je suis ici depuis plus de trente-huit années et je ne compte pas me laisser mettre à la porte par un groupuscule de jeunes agités.

 

"Je ne doute pas une seconde que vous rectifierez l’information dès votre prochain numéro. Je sais que Présent rencontre aussi de graves difficultés en ce moment et je tiens à vous dire à tous ma vieille et fidèle amitié."

 

Signé: Michel FROMENTOUX

Rédacteur en chef de
L’Action Française 2000,
Membre du Comité directeur
de l'Action française,
Directeur de l’Institut d’Action française.

                                                                                                                      

Partager cet article
Repost0
publié par la Section de Toulouse & Haut-Languedoc - dans Notre Journal - L'Action Française 2000
23 juin 2008 1 23 /06 /juin /2008 08:00

Nous avons le plaisir d'informer nos amis que le numéro 2750 de L'Action Française 2000 est paru! Encore un numéro de très bonne tenue sous la direction notre ami Michel FROMENTOUX, qui signe La Politique. On y trouve, outre un entretien avec le grand historien Jean Tulard, les chroniques habituelles de Pascal NARI, Anne BERNET, Aristide LEUCATE et Jean-Baptiste MORVAN, des articles de nouveaux collaborateurs prometteurs, un article d'actualité de notre délégué régional, Vincent GAILLERE, sur Santé navale, ainsi que le compte rendu des récentes activités de la fédération.

Ils peuvent soit l'acheter (3  € le numéro) chez leur buraliste habituel, soit souscrire auprès du service des abonnements (tél. 01.40.39.92.06) un premier abonnement au tarif promotionnel de 76 €. Enfin, tous les dons, fut-ce les plus modestes, à notre souscription permanente sont les bienvenus (les adresser à l'ordre de: Mme Geneviève CASTELLUCCIO à L'Action Française 2000: 10, rue CROIX-des-PETITS-CHAMPS 75001 PARIS.)

Partager cet article
Repost0
publié par la Section de Toulouse & Haut-Languedoc - dans Notre Journal - L'Action Française 2000
12 juin 2008 4 12 /06 /juin /2008 08:00

Avec un retard indépendant de sa volonté, pour lequel elle prie ses lecteurs de l'excuser, la rédaction de L'Action Française 2000, sous la direction exclusive de Michel FROMENTOUX, à qui nous adressons nos chaleureux encouragements, vient de faire paraître son numéro 2749, que tous les patriotes seront heureux de demander à leur buraliste habituel. Elle rappelle que le tarif du premier abonnement n'est que de 76  € pour un Journal de qualité, réunissant de prestigieuses collaborations et affichant, seul de toute la Presse française, la ligne lumineuse du nationalisme intégral.

Partager cet article
Repost0
publié par la Section de Toulouse & Haut-Languedoc - dans Notre Journal - L'Action Française 2000
6 juin 2008 5 06 /06 /juin /2008 08:00

"Le Président du Comité directeur de l’Action française et le Directeur de la publication de L’Action Française 2000 ayant pris acte du refus de Philippe Champion et de Thibaud de Bernis de laisser paraître dans le journal de l’Action française un communiqué du Comité directeur, décident de mettre un terme aux fonctions de ces derniers. Le communiqué en question ne faisant que rappeler la ligne constante de l’Action française, notamment sur la question de la légitimité dynastique et sur celle du fonctionnement traditionnel des instances du mouvement, il apparaît donc que MM. Champion et de Bernis ne se reconnaissent plus dans cette ligne. Pour cette raison, ils ne peuvent plus exercer une quelconque autorité à l’Action française.


"Des décisions seront prises rapidement pour assurer la continuité de la parution de notre journal L’Action Française 2000 et la reprise des activités du mouvement."

 

Signé: Stéphane BLANCHONNET,
Président du Comité directeur
de l’Action française

et: Marie-Gabrielle PUJO,
Directeur de la Publication de L’Action Française 2000


Nota. - La fédération Grand Sud-Ouest de l'Action française publie ci-dessus telle quelle la décision du Comité directeur qu'elle approuve totalement. Elle félicite M. Stéphane BLANCHONNET, président incontesté du Comité directeur, et Mademoiselle Marie-Gabrielle PUJO, directeur de L'A.F. 2000, de leur fermeté salutaire et de leur sûreté de jugement, et les assure de son soutien total. La Fédération espère que cet acte d'autorité insigne mettra fin à la crise de confiance rampante dans le Journal et dans le Mouvement. Dans les nouvelles conditions créées, elle souhaite que M. Michel FROMENTOUX prenne immédiatement la direction politique en titre du Journal, ce qui constituerait pour les adeptes du nationalisme intégral un gage de renouveau et de fidélité.
 
BORDEAUX, le 6 juin 2008.
 
Signé: Vincent GAILLERE
Délégué régional de l'Action française
dans le Grand Sud-Ouest.
Partager cet article
Repost0
publié par la Fédération interprovinciale du Grand Sud-Ouest de l'A.F. - dans Divers
2 juin 2008 1 02 /06 /juin /2008 08:00

Comme elle en est coutumière, malgré des difficultés de tous genres, la fédération Grand Sud-Ouest de l’Action française a clôturé par des manifestations d’ampleur une année militante particulièrement chargée du fait du décès du regretté Pierre Pujo, auquel, bonne première, elle avait rendu hommage dès le 8 décembre, et aussi de ses projets de développement durable !

 

Le 7 mai, dans le cadre de la préparation de la commémoration du 70ème anniversaire de sa levée, le 15 juillet 1939 par Pie XII, l’historien de grande classe Philippe Prévost  a évoqué, devant un public bordelais et girondin captivé, « La Condamnation de l’A.F. : Mythes et réalité ». Après une telle conférence, il ne saurait subsister aucun doute sur son caractère exclusivement politique.


 

Au pied de la statue équestre
de la Sainte de la Patrie à Bordeaux,
la gerbe de la
fédération Aquitaine-Grand Sud-Ouest
de l'Action française.
(Photo: D.R.)

 

 

Le 11, la fête nationale de Jeanne-d’Arc s’est déroulé dans l’ordre le plus parfait en présence d’une assistance particulièrement méritante. Après l’émouvant dépôt d’une gerbe de lys, le Délégué régional Vincent Gaillère a fait, dans son discours politique, le bilan de l’année écoulée et tracé des perspectives d’espérance en l’avenir : parmi celles-ci le fait que la Fédération s’appuie désormais sur un pilier supplémentaire, celui de Toulouse où,  le 9 février dernier, a eu lieu la première réunion d’A.F. depuis treize ans. On notera également que, pour la première fois depuis dix ans, un cycle complet de formation à nos doctrines a repris régulièrement dans la région, grâce à la dynamique section « Béarn-Bigorre-pays basque-Landes » que dirige notre très fidèle et sûr ami Ph. Fortabat-Labatut.

 

Le 17, à l’occasion d’un déplacement à Paris pour des consultations politiques, le Délégué régional a donné, pour honorer la haute mémoire de Pierre Pujo qui l’avait invité à collaborer à sa rédaction, une séance exceptionnelle de dédicaces du Trésor de l’Action française (éd. L’Age d’Homme) à la librairie amie La Licorne bleue, rue Jules-Vallès dans le XIème arrondissement, qui a connu un franc succès.

 

Tout cela montre assez à quel point, en dépit des coassements des oiseaux de mauvais augure, notre Fédération compte inscrire son militantisme sur le long terme et le fonder sur le roc indestructible de la doctrine du nationalisme intégral, sans faire de concessions inutiles au respect humain, ni à l’ennemi qui s’insinue parfois jusque dans les rangs les mieux protégés du Mouvement national.

 

Partager cet article
Repost0
publié par la Fédération interprovinciale du Grand Sud-Ouest de l'A.F. - dans Comptes rendus de nos activités
15 mai 2008 4 15 /05 /mai /2008 08:00

On nous prie d'annoncer qu'une messe pour le repos de l'âme de Henri Gept, ancien président de l'Union royaliste du Midi-Pyrénées (U.R.M.-P.), aura lieu le dimanche 18 mai 2008, à 10 h 30, en l'église Notre-Dame-de-La-Dalbade. La section reconstituée de Toulouse sera représentée.

 

Partager cet article
Repost0
publié par la Section de Toulouse & Haut-Languedoc - dans Notre mémoire
13 mai 2008 2 13 /05 /mai /2008 08:00
Il est important de se souvenir des évènements qui ont marqué l'histoire contemporaine de notre Pays: faute de les avoir bien compris, on ne peut rien expliquer à la suite. Le 13-Mai est, ô combien, de ceux-là. Parce qu'il marque la mutation dans la continuité du Système démocratique, de la IVème à la Vème Républiques, dont nous souffrons toujours. Parce qu'il est à la base de la politique cynique de mensonges, de trahisons et d'abandon de De Gaulle. Enfin, parce qu'il voue le peuple à un esprit de jouissance matérielle, que le maréchal Pétain avait déjà qualifié une des causes de notre défaite de 1940.
 
L'Anti-France, elle, célébre ces jours-ci d'autres évènements, ceux de mai-juin 1968. Qui ne voit qu'ils sont le fruit des réformes pédagogiques incessantes des ministres gaullistes de l'éducation nationale, qui se flattaient sans réfléchir de la massification de l'enseignement secondaire, puis supérieur? L'esprit technocratique de l'époque, dans la "mystique du Plan", prétendait appporter comme solutions aux problèmes que créait ce phénomène en trompe-l'oeil des crédits supplémentaires de construction et d'équipement, sans voir que la course démagogique au diplôme pour tous finit par susciter des exigences nouvelles de la part du peuple, peu en rapport avec les possibilités économiques et avec ses capacités intellectuelles.
 
Mais la politique de mensonge menée sciemment par De Gaulle en Algérie, qui consista, au prix de souffrances humaines indicibles, à se débarrasser de ce qu'il considérait comme un boulet à une politique de grandeur française a durablement semé dans l'esprit de la jeunesse la croyance que le respect de la parole donnée, l'honneur, le patriotisme étaient des valeurs désuètes, qu'il  convenait de dépasser par un hédonisme de privilégiés. La croissance permettait ce recul de l'esprit public, qu'aucune institution, ni Monarchie, ni Eglise, ni Université, ni professions, n'était en mesure d'enrayer. Cela dit, il semble sage de tempérer les conséquences de cette poussée révolutionnaire. Le réel, la nécessité de rentrer dans le rang a rattrapé les soixante-huitards. Les défaites qui précédèrent immédiatement cette poussée (vote de la loi Neuwirth) ou qui s'ensuivirent (réformes du code civil, dépénalisation de l'avortement etc.) sont bien le fruit du Régime et de sa profonde novicivité. La République c'est le mal, disait Maurras, la République c'est la mort!



 
Un demi-siècle après le 13-Mai, nous devons reconnaître que, si les conditions politiques et morales ont changé, la situation de notre patrie ne s'est guère améliorée, en dépit de toutes les initiatives associatives ou électorales venues du pays réel. La Vème République est à l'agonie, et avec elle son personnel. On ne remarque plus qu'un attachement superstitieux à la démocratie, entretenu par les mass-médias, mais cet attachement est tout de surface. Que surviennent des choses graves, par exemple une guérilla urbaine à l'image de celle de 2005, et les Français, comme après mai 68, passeront naturellement au camp de l'Ordre! A nous seuls de faire en sorte que celui-ci ne soit pas incarné par un parti politique républicain, quel qu'il soit, mais constitue un changement authentiquement favorable à la France.
Partager cet article
Repost0
publié par la Section de Toulouse & Haut-Languedoc - dans Notre mémoire
22 février 2008 5 22 /02 /février /2008 09:00

On nous prie d'annoncer qu'une messe pour le repos de l'âme de Henri Gept, ancien président de l'Union royaliste du Midi-Pyrénées (U.R.M.-P.), aura lieu le dimanche 24 février 2008, à 10 h 30, en l'église Notre-Dame-de-La-Dalbade. La section reconstituée de Toulouse sera représentée.

 

Partager cet article
Repost0
publié par la Section de Toulouse & Haut-Languedoc - dans Notre mémoire
18 février 2008 1 18 /02 /février /2008 09:00

A l'invitation de la fédération
des sections catalanes 
d'Action française,

Sous la présidence de 
M. Edouard BAUX, 
président de la fédération,


Dîner-débat sur le thème: 

"Le Mauvais 
Traité Simplifié 
de Sarközy 
et l'avenir du 
nationalisme français"

undefined

par M. Vincent GAILLERE
Délégué régional de l'A.F. dans le Grand Sud-Ouest

Samedi 
23 février 2008
à 18 h 30


Hôtel Les Deux Mas
1 rue Madeleine-BRES 
(face à l'entrée de la clinique Médipole)
66330 CABESTANY

Venez nombreux!

Inscription préalable obligatoire auprès de: M. BAUX. Tél: 04.68.66.76.06. Participation (repas, vin et café compris): 30 €

Partager cet article
Repost0
publié par la Fédération interprovinciale du Grand Sud-Ouest de l'A.F. - dans Actualité de la section de Toulouse-Haut-Languedoc
11 février 2008 1 11 /02 /février /2008 09:00

Pour « Ceux qui ont la mémoire/ Ceux qui ont le cœur haut », il était important de ne pas laisser se terminer la funeste année 2007, qui a vu les disparitions de Henri Gept et de Pierre Pujo, sans que soit sérieusement assuré l’avenir du nationalisme français en Haute-Garonne. Aussi les responsables de la fédération Grand Sud-Ouest et de la section reconstituée de Toulouse de l’Action française avaient-ils organisé ce samedi 9 février une réunion, à laquelle nos fidèles amis ont largement répondu : « Présents » ! Grâce à la participation active de ces hommes d’élite, le flambeau de notre espérance a ainsi pu être rallumé en Toulousain, comme il a pu briller en pays basque et à Bordeaux les 8 décembre et 26 janvier derniers.



 

Dans son discours politique, le délégué régional de l’Action française dans le Grand Sud-Ouest, M. Vincent Gaillère, a fait remarquer que cette réunion était la première réunion d’Action française à Toulouse depuis treize ans, c’est-à-dire depuis que Henri Gept, président de l’Union royaliste du Midi-Pyrénées, avait renoncé à ses fonctions. Quel plus grand exemple d’humilité, pour tous les chefs ou ceux qui aspirent à l’être, que de connaître leurs limites et de savoir se retirer à temps ?

 

Henri Gept n’ayant pas été véritablement remplacé, il était naturel que, de son vivant et de celui de Pierre Pujo, et avec leur assentiment, les responsables de la fédération soient amenés à suivre étroitement l’actualité politique de la région. La fédération exerce dorénavant sa propagande royaliste dans le vaste cadre du Grand Sud-Ouest aquitain ; cette solution, préférable à une confortable inaction, était d’ailleurs réclamée par nos amis. Différents projets à moyen et long termes, fixant des objectifs limités, mais réalistes ont été ensuite envisagés.

 

Le délégué régional a également évoqué le combat principal de la fédération et de la section de Toulouse pour les années à venir : la lutte contre le processus d’intégration européenne, au moyen d’une pseudo-Constitution. La patrie est en danger, menacée par le Mauvais Traité de Charkeuzy : la défendre est un devoir pour tout bon Français.

 

Après avoir excusé ceux des orateurs pressentis qui avaient été retenus par d’autres obligations, il a passé la parole à Philippe Prévost,  historien compétent et journaliste à L’Action Française 2000 universellement apprécié, qui entretint un auditoire captivé des Origines de la tragédie palestinienne, laquelle concerne la France éternelle à plus d’un titre et façonne, par les forces qu’elle met en jeu, l’évolution des relations internationales. Les responsabilités de Clemenceau dans cette page d’histoire qui obère, encore aujourd’hui, notre action au Proche-Orient, les divers aspects militaires, politiques, diplomatiques et religieux de la question ont été exposés en détail, pour le plus grand intérêt du public.

 

A la suite de la causerie et des questions, nos amis ont longuement flâné autour des stands de livres et de journaux consacrés à l’histoire et à la pensée d’A.F. Ph. Prévost et V. Gaillère se sont gracieusement prêtés à une séance de dédicaces des ouvrages auxquels ils ont contribué. Un sympathique déjeuner a clos la réunion dont les participants ont été unanimes à louer le succès.

 

 

Partager cet article
Repost0
publié par la Section de Toulouse & Haut-Languedoc - dans Comptes rendus de nos activités
9 février 2008 6 09 /02 /février /2008 09:00
Partager cet article
Repost0
publié par la Section de Toulouse & Haut-Languedoc - dans Politique étrangère
3 février 2008 7 03 /02 /février /2008 09:00

Thème général :

 

« Dans la ligne

de Pierre Pujo

et de Henri Gept, 

l
'Action française

contre le mondialisme:


état des lieux

et perspectives » 

 

 

 

Sous la présidence effective de

 

 

M. Vincent GAILLERE

Délégué régional

de l’Action française

dans le Grand Sud-Ouest,

président de la

section de Toulouse,

 

 

qui prononcera le

discours politique de rentrée

 

 

Avec la participation de

 

 

Michel FROMENTOUX

Rédacteur en chef de

L’Action Française 2000,

 

 

Pierre HILLARD

(sous réserve)

Docteur ès sciences politiques,

écrivain et journaliste

Auteur de La Marche irrésistible

vers le Nouvel Ordre mondial

(F.-X.-de-Guibert, 2007)

 

 

et Aristide LEUCATE

Docteur en droit, rédacteur à

L’Action Française 2000,

Coauteur du

Trésor de l’Action française

(L’Age d’homme, 2005)

 

 

 

Samedi 9 février 2008,

à 10 h 30 précises

 

 

dans le centre de Toulouse 

(la localisation exacte sera communiquée après inscription)

 

 

Participation aux frais : 23 € par personne. S’inscrire avant le 5 février 2008. Règlement à l’inscription par chèque. La confirmation de l'inscription sera demandée à l'entrée

 

Partager cet article
Repost0
publié par la Section de Toulouse & Haut-Languedoc - dans Actualité de la section de Toulouse-Haut-Languedoc
20 décembre 2007 4 20 /12 /décembre /2007 09:00

La première de toute la France et de la Navarre, la section Béarn-Bigorre-pays basque-Landes de l’Action française, a organisé le 8 décembre 2007, avec le soutien de la fédération Aquitaine-Grand Sud-Ouest, une soirée d’hommage à la mémoire de Pierre Pujo et de soutien au Journal et à son rédacteur en chef Michel Fromentoux.

 

 

 

Le seul nom, combien honorable, de son promoteur, maître Philippe Fortabat-Labatut, garantissait que l’ambiance y serait à la fois digne et chaleureuse ; ce fut bien le cas. Venu spécialement, le président de l’association La Croix blanche : Miracle de Bayonne rappela les liens anciens unissant le principal collaborateur politique de notre regretté chef au pays basque.

 

 

 

Après la projection du film émouvant d’une conférence prononcée en 2003 à Biarritz, où l’on retrouvait la figure tant aimée et servie fidèlement en province de Pierre Pujo, et la lecture de son « testament politique » du 20 octobre dernier à Saint-Maximin, Michel Fromentoux évoqua la vie héroïque et les durs combats d’un homme qui aurait pu aspirer comme tant d’autres à jouir de son grand nom, à se complaire en mondanités et à faire carrière dans la Haute Banque. Issu d’une très ancienne lignée, Capétien à sa manière, Pierre Pujo a assuré par devoir, sa vie durant, la régence du nationalisme, en toute humilité : grande leçon pour nous tous, en vérité !

 

 

 

Ayant fait d’A.F. Université un modèle de revue pour jeunes de bonne tenue, il succéda à Xavier Vallat comme directeur d’Aspects de la France (auquel il devait rendre plus tard son titre historique). A ce poste, il refusa l’aggiornamento illusoire de la dissidence « nafe », comme disait Pierre Juhel, et les tentatives inconsidérées de rapprochement de certains membres du Comité directeur.

 

 

 

C’est en restant ferme sur les principes, « sans changer un mot de la doctrine » qu’il surmonta les scissions, les attentats, les interdits du Pouvoir. Cela a pu lui valoir une réputation de dureté et de rigidité, mais qu’ont fait de mieux ceux qui l’ont critiqué ? Comme l’ont prouvé les succès du sauvetage de Mayotte et du combat contre l’ « Europe-puissance », « maintenir, c’est créer » (Maurras).

 

 

 

Le délégué régional de l’A.F. pour l’Aquitaine et le Grand Sud-Ouest, M. Vincent Gaillère, prononça ensuite une allocution rendant hommage à l’ampleur des vues du défunt, à sa sûreté doctrinale, supérieure à celle de maints penseurs actuellement en vogue. Il ne cacha pas que le disparu pouvait avoir les défauts de ses qualités, surtout en matière de jugements sur les individus à qui il faisait parfois indûment confiance, mais qu’il resterait, au même titre que Drumont, Barrès, Maurras, Pétain, Ploncard-d’Assac, « un maître de la Renaissance française à venir ».

 

 

 

On notera que le 12 décembre, une messe a été célébrée pour le repos de son âme et aux intentions de l’A.F., à l’initiative de la fédération Aquitaine-Grand Sud-Ouest, en présence d’une cohorte de nos amis, groupés autour du fanion de la fédération, en l’église Saint-Eloi, dont Pierre Pujo avait admiré la restauration par l’institut du Bon-Pasteur lors de son dernier séjour à Bordeaux. Au terme de celle-ci, le délégué régional a prononcé l’éloge funèbre d’usage sous l’arche de l’antique beffroi municipal.

Partager cet article
Repost0
publié par la Fédération interprovinciale du Grand Sud-Ouest de l'A.F. - dans Comptes rendus de nos activités
9 décembre 2007 7 09 /12 /décembre /2007 08:00

"Bien sûr, comme tout le monde, j'avais été choqué et ému dimanche, en entendant à la radio qu'une jeune étudiante en journalisme avait été retrouvée en fin de matinée, agonisante, dans une rame du RER D en gare de Creil, après avoir été frappée de nombreux coups de couteau. Et relativement soulagé d'apprendre, dès le lendemain, que son assassin, blessé au cours de l'agression, avait été arrêté avant de passer aux aveux. Mais le pire, pour moi, restait à venir.

 

"Le pire, je l'ai appris hier après-midi. Le pire, c'est que je connaissais cette jeune fille, que j'avais eu le temps de juger et d'apprécier pendant les deux mois de stage qu'elle fit l'an dernier à Valeurs Actuelles, dont je dirigeais alors la rédaction. Elle s'appelait Anne-Lorraine Schmitt, avait 23 ans, et faisait partie de ces enfants qui semblent n'être nés que pour combler leurs parents de joie et de fierté.

 

 

 

"Aînée d'une fratrie de cinq garçons et filles, elle avait passé son bac à la Maison de la Légion d'Honneur de Saint-Denis avant d'être reçue à l'Institut d'Etudes Politiques de Lille, puis d'intégrer à l'automne 2006 le Celsa, l'excellente école des sciences de l'information et de la communication dépendant de la Sorbonne.

 

"Durant son stage, elle avait frappé toute la rédaction par sa culture générale, sa maturité, son exigence vis-à-vis d'elle-même. Une exigence qui lui venait probablement de sa foi : profondément croyante, Anne-Lorraine s'était fortement engagée dans le mouvement scout. Ce qui ne l'empêchait nullement d'être une jeune fille de son temps, charmante, brillante et appréciée de tous.

 

(Anne-Lorraine Schmitt. - Photo D.R.)

 

"Dimanche matin, ses parents l'attendaient sur le quai de la gare d'Orry-la-Ville pour aller en famille à la messe. Un délinquant sexuel récidiviste d'origine turque, déjà condamné en 1996 à cinq ans de prison pour un viol commis sous la menace d'une arme sur la même ligne du RER, aura donc brisé leurs vies en même temps que celle de leur fille.

 

"Mais Anne-Lorraine aura été courageuse jusqu'au bout : en se défendant, en empêchant son agresseur de parvenir à ses fins, elle aura réussi à le blesser en retournant son arme contre lui, ce qui devait permettre son arrestation ultérieure. En félicitant les enquêteurs de cette conclusion rapide, Michèle Alliot-Marie, ministre de l'Intérieur, a assuré les proches d'Anne-Lorraine de sa profonde compassion.

 

"Quelques heures plus tard, à quelques kilomètres de là, les jeunes Moushin (15 ans) et Larami (16 ans), conduisant à grande vitesse et sans casques une moto de cross non homologuée, se tuaient en percutant de plein fouet un véhicule de police en patrouille. Leur mort, on le sait, sert depuis deux jours de prétexte à l'embrasement de plusieurs communes du Val-d'Oise, avec tirs de chevrotines, de grenaille et de balles contre les forces de l'ordre (plus de quatre-vingts policiers blessés) et incendies de commissariats, d'écoles, de bibliothèques et de commerces.

 

(L'enterrement d'Anne-Lorraine Schmitt,

le 1er décembre à Senlis. - Photo D.R.)

 

"Pour tenter d'apaiser les esprits, le chef de l'Etat pourrait recevoir ce mercredi les parents des deux jeunes morts de Villiers-le-Bel. Serait-ce trop lui demander que d'avoir aussi un geste fort vis-à-vis de la famille et des proches d'Anne-Lorraine ? Par exemple en étant représenté à un haut niveau - voire en se rendant lui-même, comme il sait le faire - aux obsèques de cette jeune fille exemplaire qui auront lieu samedi, à 14 h, en la cathédrale de Senlis. Il serait juste, en effet, que les victimes innocentes aient droit dans ce pays à plus d'égards que des délinquants responsables de leur propre malheur."

 

Gérard GACHET

 

 

P.S.  Les parents de la jeune femme ont été reçus à l'Elysée, où on leur aura vraisemblablement conseillé de ne pas faire de vagues; ployant sous le poids de sa responsabilité dans le climat délétère qui règne dans le Pays, Charkeuzy a prononcé le 30 novembre un discours plus retenu, moins impudique que d'habitude à la maison d'éducation de Saint-Denis. Et que s'est-il passé après? Après... rien.

 

La leçon à tirer de ce fait divers tragique est qu'il est à craindre que la mort d'Anne-Lorraine Schmitt, Française exemplaire, n'enlève pas à ses compatriotes les illusions qu'ils pourraient encore avoir sur le caractère "chrétien", moins laïcard que son prédécesseur, du pouvoir de Charkeuzy. Pourtant, tout comme Chirac, celui-ci livre la France au Moloch technocratique, foncièrement antichrétien, européiste, cosmopolite et mondialiste. Jusqu'où faudra-t-il aller dans l'horreur?

Partager cet article
Repost0
publié par la Fédération interprovinciale du Grand Sud-Ouest de l'A.F. - dans Divers
11 novembre 2007 7 11 /11 /novembre /2007 08:00

Ayant appris avec peine le décès, survenu le 10 novembre 2007 à Paris, de Pierre PUJO, président du Comité directeur de l'Action française, directeur de L'Action Française 2000, les fédérations Aquitaine-Grand Sud-Ouest et Provence de l'A.F. ne trouvent d'hommage plus fervent à sa mémoire que de reproduire ci-dessous, le message qu'il adressait en toute connaissance de cause aux participants à la 2ème journée d'amitié & d'Action française, à Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, le 20 octobre dernier, paru dans L'A.F. 2000 n° 2735 du 1er novembre. Plutôt que de gloser sur la "fidélité" ostensiblement affichée des uns et l'hypocrisie pure des autres dans ce tournant tragique de l'histoire de notre Mouvement, nous laissons nos amis juges du caractère de testament politique de ce texte, où il résume l'engagement d'une vie et où il dessine les axes du combat nationaliste, auxquel, pour notre part, nous serons fidèles.

 

"Chers Amis,

 

"C’est avec un profond regret que je dois renoncer à participer cette année au grand rassemblement catholique et royaliste organisé par Gérard et Danièle Pouységur.

 

"L’an dernier, nous nous rencontrions à Cotignac, pèlerinage auquel furent fidèles les Rois de France. Cette année, nous honorons Saint-Maximin et la Sainte-Baume qui évoquent pour nous les premiers apôtres de la Gaule. Haut lieu de la chrétienté qui appartient à notre histoire nationale.

 

"Nous exprimons notre fidélité aux combats du passé. Nous rendons hommage à tous les patriotes dont les mérites et les sacrifices n’ont pas toujours été reconnus au siècle dernier, qu’il s’agisse du maréchal Pétain ou de ceux qui ont lutté jusqu’au bout pour que la province française d’Algérie, – dont nous portons toujours le deuil, – demeure française.

 

"Nous refusons la repentance sur l’œuvre coloniale de la France. Elle a apporté la civilisation à des peuples auxquels elle s’est associée et parfois qu’elle a intégré dans la Communauté nationale.

 

"Ces combats pour la France, nous les poursuivons aujourd’hui, persuadés que l’action d’une minorité dynamique peut changer le cours des choses.

 

"Nous refusons l’intégration de la France dans un Super-Etat européen. Nous voulons qu’elle soit libre et indépendante. Elle a besoin de préserver sa souveraineté pour développer son action dans le monde et soutenir ses amis.

 

"Nous sommes persuadés que la France se relèvera lorsqu’elle aura retrouvé les valeurs qui ont fait sa force dans le passé et qu’elle sera de nouveau fière d’elle-même.

 

"Nicolas Sarkozy veut réformer les institutions ; nous le réclamons aussi mais nous ne voulons pas d’un régime présidentiel ou bonapartiste. Nous voulons que la France retrouve son Roi et sa Monarchie capétienne après tant d’expériences républicaines désastreuses.

 

"Pierre PUJO."

Partager cet article
Repost0
publié par la Fédération interprovinciale du Grand Sud-Ouest de l'A.F. - dans Etudes et documents d'Action française
5 novembre 2007 1 05 /11 /novembre /2007 08:00

Mes Chers Amis !

 

Votre présence à l’édition 2007 de la journée d’amitié & d’Action française est un signe qui ne trompe pas : grâce à l’intelligence, à la piété filiale et au dévouement à la Cause nationale et royale de nos amis Danielle Wilkin et de son mari, le nationalisme intégral revit dans son berceau de Provence ! Il était donc tout naturel que les royalistes du Grand Sud-Ouest aquitain apportassent à cette manifestation désormais traditionnelle des Blancs du Midi un salut fraternel et le témoignage de leur profonde union de pensée et d’action.

 

Car l’A.F. véritable, que certains d’entre vous découvrent ou redécouvrent ici dans son « canal historique », aime à se définir avant tout UNE AMITIE AU SERVICE DU VRAI. Où, mieux qu’en province, au cœur du pays réel, pouvait-on éprouver comme à Saint-Maximin, cité comblée de bienfaits par les quarante Rois qui ont fait la France, ce sentiment réconfortant d’unité mentale ?

 

Vous comprenez bien qu’une définition aussi élevée exige de ceux qui la formulent un comportement exemplaire et d’abord une méthode rigoureuse, que nous appelons après Maurras : l’EMPIRISME ORGANISATEUR, c’est-à-dire l’intelligence, nourrie des précédents historiques, contrôlant l’observation, dépourvue de préjugés de parti ou de caste, des faits politiques et sociaux, – le tout en prenant pour règle immuable l’intérêt de la Communauté à laquelle, pour le meilleur et pour le pire, nous appartenons. C’est dire s’il serait lâche et vain pour nous de nous dissocier artificiellement de nos compatriotes, sous le prétexte qu’ils ne partagent pas en tout notre idéal de citoyens ; nous sommes solidaires de leur sort, cette réalité commande tout. Servir son Pays est une tâche bien souvent ingrate, mais qui ne souffre aucune espèce de désertion. Aussi les hommes d’Action française continueront de maintenir intacte leur doctrine de salut public. C’est le sens de cette manifestation : « Pour la France, envers et contre tout, le combat continue ! »

 

Peut-être, Mes Chers Amis, vous sentez-vous parfois las de remonter, tel Sisyphe, le rocher de la France éternelle sur la pente de nos abandons toujours renouvelés ? de combattre les effets néfastes de l’action des forces occultes qui gouvernent le monde ? Peut-être en avez-vous assez des calculs puérils de stratèges en chambre, de Machiavel au petit pied, des compromissions de faux amis avec l’adversaire et des mondanités improductives de romantiques adorateurs d’hommes forts, quels qu’ils soient ?

 

Je sais tout cela et partage votre dégoût, mais je veux vous dire que notre décadence n’est pas inéluctable ! La France de 2007, – même abaissée dans son prestige intellectuel, militaire et diplomatique, même humiliée par l’étranger d’outre-Atlantique ou d’outre-Méditerranée, même trahie par ses politiciens pourris, – demeure tout de même la France ! Nous, ses fils, n’avons pas le droit de médire d’elle, de la dire finie, de déposer, comme si nous étions les derniers Français, le fardeau de l’héritage national ! Elle contient des ressources matérielles et morales immenses, que nous n’avons que trop l’habitude de minorer, parce qu’au fond, notre foi en notre patrie s’amoindrit en s’aigrissant de nos défaites !

 

Salazar disait à Braga au 28-Mai 1936 : « Nous ne discutons pas la patrie et son histoire ! » Faisons donc pareil ! Retrouvons, avec la confiance en sa destinée « naturellement et historiquement privilégiée », les raisons qui ont empêché nos pères de jamais désespérer de la France qui, aujourd’hui comme aux siècles de Charles VII, de Henri IV, de Louis XVIII ou du maréchal Pétain, reste capable, par le sérieux du patriotisme et du travail, et par l’ordre, fruit de la justice due à tous, de remonter du fond de l’abîme !

 

Thierry-Maulnier, qui fut un prolongateur très sûr de la pensée de Maurras, remarquait justement, à la veille de la Seconde Guerre mondiale, que, si la France est un Etat, organisme politique, elle est aussi une civilisation, composé subtil de mœurs, de traditions et d’habitudes de pensée, dont le trait principal est la conciliation des contraires dans une synthèse plus haute. Pertinente pour toute les époques, sa remarque montre à quoi doivent tendre nos efforts : la prise du Pouvoir est essentielle et prioritaire pour que triomphent nos idées, mais elle ne saurait tenir lieu de la réforme intellectuelle, spirituelle, sociale et économique qui conditionne le renouveau durable de notre Nation.

 

Ce doit être notre objectif ultime, qui ne saurait se limiter à une simple substitution de régime, à mettre un roi constitutionnel à la place d’un président omnipotent, en laissant la réalité de l’influence à la bourgeoisie mondialiste qui rêve d’unification européenne et d’alignement transatlantique ! Pour sauver nos libertés et rendre à notre Pays sa grandeur, nous voulons un Roi à la française, qui règne et qui gouverne, par lui-même ou par l’intermédiaire d’un ministre.

 

Mais, pour vaincre, encore faut-il rester soi-même, différencié de l’Anti-France ennemie. Pour cela, il nous faut tous combattre absolument l’édulcoration de notre message politique. Il ne faudrait pas confondre ceux à qui nous nous adressons : nos concitoyens, qu’il faudra bien rallier aux solutions de renouveau, et le désir inconsidéré de plaire au tout-venant, au risque de perdre sur un coup de dés électoral ou médiatique les chances de la Nation. N’en déplaise aux arrivistes qui traversent à grandes enjambées notre vaste camp, nationalistes nous sommes, nationalistes nous demeurerons, car nous voulons que nos petits-neveux restent Français.

 

Mes Chers Amis,

 

Pour que vive la France, à bas la République et vienne le Roi !

Partager cet article
Repost0
publié par la Fédération interprovinciale du Grand Sud-Ouest de l'A.F. - dans Comptes rendus de nos activités
1 mars 2007 4 01 /03 /mars /2007 08:00

Toulouse--blason-avec-couronne-murale.jpg

 

Bienvenue sur le blogue officiel de la section de Toulouse et Haut-Languedoc de l'Action française! Pour suivre nos prises de positions sur l'actualité et être informés de nos activités politiques dans la région, suivez le lien vers le blog officiel de la fédération Grand Sud-Ouest de l'A.F.: http://af-aquitaine.over-blog.com!

 

A tout de suite! ( ; - )

Partager cet article
Repost0
publié par la Section de Toulouse & Haut-Languedoc - dans Actualité de la section de Toulouse-Haut-Languedoc

Nos Principes Élitistes-Populaires Et Ce Que Nous Offrons: "Du Sang, De La Sueur Et Des Larmes" (Churchill, Qui N'était Pas D'a.f.)